Le retour (imposé) au bureau
C’est le retour du balancier, diront certains. Après avoir ouvert la porte toute grande au télétravail, bon nombre d’organisations ont rappelé leurs employés au bureau au cours des deux dernières années. C’est le cas notamment d’Amazon, qui rendra la présence obligatoire, tandis qu’Ubisoft l’augmentera en 2025.
Au Québec, la flexibilité est toujours de mise. Hydro-Québec, Cossette et Desjardins, pour ne nommer que ceux-là, demandent deux à trois jours par semaine au bureau.
N’empêche, près de la moitié des travailleurs ont constaté un resserrement des politiques: 22% des répondants disent qu’ils devront se présenter plus souvent au bureau et 24% croient que leur employeur l’encourage sans l’exiger.
Pourquoi? Pour favoriser les interactions, augmenter le sentiment d’appartenance, mais aussi par équité entre les employés, sont parmi les raisons évoquées.
Au bureau comme au salon
Avec leurs tapis duveteux, leur mobilier noir mat sur mesure et de multiples objets décoratifs judicieusement choisis, certains environnements de travail sont dignes des magazines de design.
Parler de santé mentale
Parler de santé mentale n’est plus tabou au bureau. C’est même encouragé.
Pour lire l'article complet : Milieu de travail: six tendances à surveiller en 2025
